Le 14 juillet 2018, le premier décret du gouvernement Conté est officiellement entré en vigueur, plus connu sous le nom de “décret de dignité” (décret-loi n ° 87/2018), dont l’objectif est essentiellement de lutter contre le phénomène de précarité (articles 1 à 4), intervenant fortement sur les contrats à durée déterminée. Pour illustrer les points saillants de cette réforme, l’avocat Sergio Cupellini, propriétaire du cabinet d’avocats homonyme de Rome.

Monsieur Cupellini, quels sont les principaux changements introduits par le décret de dignité ?

Le nouveau cadre réglementaire, à l’art. 19, prévoit que la durée du premier contrat à durée déterminée ne peut pas dépasser 12 mois lorsque la raison pour laquelle un délai a été appliqué (le décret de causalité) n’est pas indiquée. Si, au lieu de cela, cette raison est incluse dans le contrat, la durée maximale est de 24 mois. À cet égard, le décret admet sans aucun doute deux types de facteurs de causalité : besoins temporaires et objectifs, non liés à des activités ordinaires ou visant à remplacer d’autres travailleurs ; exigences relatives aux augmentations temporaires, significatives et non programmables des activités ordinaires. En cas de stipulation d’un contrat de plus de 12 mois en l’absence de l’une des raisons justificatives strictement requises par le paragraphe 1 de l’art. 19, le contrat est transformé indéfiniment à compter de la date du dépassement.

À la lumière de ces données techniques, à quel point est-il important de faire appel à un avocat spécialisé en droit du travail ?

Il est très important d’évaluer l’existence des conditions prévues par la loi et de traiter la phase pathologique, tant au stade génétique que génétique, afin de mieux gérer toute controverse judiciaire inhérente aux relations de travail.

Plus d’informations: www.studiolegalecupellini.it info@studiolegalecupellini.it

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