Professeur Avocat Vincenzo Donativi, fondateur du cabinet d’avocats Donativi & Associati de Rome, illustre les points clés de la nouvelle loi.

La réforme élaborée par la commission ministérielle de Rordorf, destinée à changer profondément la dynamique par laquelle elle intervient dans la gestion de la crise économique, actualise la législation de la loi sur la faillite no. 267 de 1942, désormais obsolète, et quelques règles contenues dans le Code civil, en particulier sur le renforcement des mécanismes d’administration et de contrôle, afin de permettre une divulgation en temps opportun de l’état de crise. Pour illustrer les profils innovants de cette réforme est le professeur avocat Vincenzo Donativi, fondateur du cabinet d’avocats Donativi & Associati de Rome, un groupe de 14 professionnels capables d’assister efficacement le client dans tous les domaines du droit des sociétés.

Prof. Donativi, quels sont les points clés de la réforme de Rordorf ?

L’un des points clés est l’introduction d’une phase d’alerte précoce permettant une identification et une émergence plus précoces des symptômes de la crise économique, empêchant celle-ci de devenir irréversible et permettant au débiteur d’activer rapidement toutes les procédures nécessaires pour résolution assistée de la même chose.

La procédure d’alerte, qui doit garantir la préservation des valeurs de l’entreprise et permettre à l’entreprise de rester sur le marché, peut donner lieu à une procédure extrajudiciaire avec un Organe de Composition de Crise mis en place dans chaque Chambre de Commerce contrôle de la société ou sur la déclaration des créanciers publics qualifiés, tels que l’Agence du revenu et les entités de sécurité sociale. Les organes de contrôle des entreprises sont tenus de notifier immédiatement à l’organe administratif de la société l’existence d’indices de crise justifiés et, en cas de réponse omise ou inadéquate, d’informer directement l’organisme compétent. L’objectif de l’Organe est d’assister le débiteur dans le processus de règlement de la crise, qui sera suivi, bien qu’éventuel, d’une solution convenue avec les créanciers. En cas de résultat négatif, ou si à la fin des trois mois, qui peut être prolongé jusqu’à un maximum de six mois, l’état d’insolvabilité de l’entrepreneur devrait résulter, l’Organe de Composition de Crise en informera le procureur afin que ceux-ci favorisent la procédure judiciaire pour déterminer l’état de l’insolvabilité.

Quel est le ratio de la réforme ?

Le trait fondamental qui caractérise cette partie de la réforme est que la crise est gérée dans le contexte d’un chemin protégé. Ainsi, pour l’entrepreneur qui prouve qu’il a rapidement activé la procédure envisagée par notre législateur, les mesures sont récompensées, mais les nouvelles répondent principalement à l’intérêt des créanciers pour convenir de solutions qui, si elles sont correctement calibrées, ne comportent aucun risque de révocation échec à tenter de résoudre et de surmonter la crise.

 

Plus d’informations (www.donativiassociati.it)(info@donativiassociati.it)

 

Par Roberta Imbimbo

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