La loi n. 24 du 8 mars 2017 a présenté des nouvelles sur la responsabilité médicale et de la santé, avec des lumières et des ombres, pour le médecin et pour le citoyen-patient. L’avocat intervient sur le sujet Emanuele Citriniti de la Cour de Rom19

Avv. Citriniti, quelles sont les innovations les plus pertinentes introduites par le c.d. Est-ce que tu lis Gelli?

Le roman législatif a introduit l’art. 7 ce qu’on a appelé la «double voie» de la responsabilité civile. Alors qu’en réalité la responsabilité de la structure de santé publique ou privée reste contractuelle (article 1218 du code civil), celle du médecin, sauf en cas d’obligation contractuelle assumée avec le patient, prend désormais un caractère extracontractuel (article 2043 du code civil) ). Il s’ensuit que l’action civile intentée contre le médecin est désormais soumise à un délai de prescription de cinq ans plus court, alors que celui contre l’établissement de soins reste de dix ans.

Quoi de neuf dans le domaine criminel?

Article. 6 de la loi, afin de favoriser une déflation du litige pénal, introduit l’art. 590 sexies dans le code pénal, qui prévoit la non-punition du médecin en raison de l’inexpérience lorsque, dans l’activité de santé, respecte les recommandations fournies par les directives du ministère de la Santé ou, à défaut, de bonnes pratiques de soins cliniques. Cependant, la loi Gelli a échoué par rapport à la précédente loi Balduzzi, car le médecin continue de répondre par négligence légère, négligence, imprudence, mais aussi par l’inexpérience de l’acte médical, quand il n’y a pas dans les lignes directrices et bonnes pratiques ou application erronée à l’affaire en cause (Cour de cassation n ° 31/17).

Pour plus d’informations (e.citriniti@tiscali.it)

(www.avvocatoresponsabilitàmedica.roma.it)

par Roberta Imbimbo

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